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Santoni Patrick, Buzz lightyear's way, 2017.
Acrylique sur toile 70 x 50 cm.
©ADAGP, Paris, 2023.

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Santoni Patrick, Tree-house without trees, 2017.
Acrylique sur toile 70 x 50 cm.
©ADAGP, Paris, 2023.

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Santoni Patrick, Lost in Paradise, simplification 001, 2018.
Acrylique sur toile 70 x 70 cm.
©ADAGP, Paris, 2023.

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Santoni Patrick, Lost in Paradise, évolution 003, 2017.
Acrylique sur toile 50 x 50 cm.
©ADAGP, Paris, 2023.

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Santoni Patrick, Lost in paradise, evolution 002, 2017.

Acrylique sur toile 50 x 50 cm.
©ADAGP, Paris, 2023.

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Santoni Patrick, Pool with hope in future, 2022.
Impression numérique sur papier d’art 90 x 60 cm, éditée à 8 exemplaires, (2022).
©ADAGP, Paris, 2023.

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Santoni Patrick, Pool with Yellow Ball, 2022.

Acrylique sur toile 100 x 73 cm.
©ADAGP, Paris, 2023.

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Santoni Patrick, Pool with woman, 2022.
NFT fichier numérique de 4843 x 3071 pixels.
©ADAGP, Paris, 2023.

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Santoni Patrick, Pool with End, 2022.

Acrylique sur toile 100 x 81 cm.
©ADAGP, Paris, 2023.

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Santoni Patrick, Mandarine camouflée, 2018.
Acrylique sur toile 100 x 80 cm.
©ADAGP, Paris, 2023.

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Santoni Patrick, L'heure des grands fauves, 2018.

Acrylique sur toile 100 x 80 cm.
©ADAGP, Paris, 2023.

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Santoni Patrick, What is great again? 2018.

Acrylique sur toile 70 x 50 cm.
©ADAGP, Paris, 2023.

God spoils his grandchildren

Santoni Patrick, God spoils his grandchildren 2021.

Acrylique sur toile 60 x 60 cm.
©ADAGP, Paris, 2023.

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Santoni Patrick, My Place, 2017.
Acrylique sur toile 50 x 50 cm.
©ADAGP, Paris, 2023.

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Interroger par les codes les plus « coutumiers » de la représentation ce qui est à l’œuvre dans le monde, ce qui en fait la substance : c’est ici que se loge ma pratique.

La juxtaposition des nets et des flous, la concaténation des plans, l’organisation d’éléments métonymiques brouillent la logique de perception. La frontière entre le réel et la réalité devient littoral et fait exister un univers à la frontière de l’uchronie, où l’espoir vient percuter un monde atone, ordonné par la discipline de l’esthétique et d’où le sens et la réalité s’échappent.

Vient alors le temps d’ouvrir une brèche, de détruire ce trop par l’addition d’apports graphiques ou d’empâtements. En résulte l’écriture d’une image où l’absurde flirte avec la tendresse, happant et perturbant le confort visuel du spectateur, l’ouvrant à son tour à la possibilité d’un questionnement.


 

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